Parcelles de Rêves, fracas de Souvenirs d’Existences parallèles et nébuleuses, débris d’Idées du
Ici et du Là-Bas, de l’Au-Delà et du Plus Loin Encore égouttés à la Passoire cruelle du Sablier,
l’Amalgame du Jadis, du Présent et du Futur, du Jamais, du Peut-Être ou du Pourquoi Pas,
l’Intemporel capturé - en demeurant tout de même libre - en Court-Métrage qui en murmure
pourtant plus long que sa durée à Quiconque lui tendant l’Oreille.
Qui Suis-Je, c’est Tout et Rien à la fois. C’est la Correspondance de l’Absurde et de l’Immobile qui s’entremêlent pour se répondre, c’est l’Imaginaire et le Réel qui se croisent brièvement afin de se serrer la Main, c’est la Tirade du Quelque Chose et du N’importe Quoi qui s’étendent côte à côte jusqu’aux Petites Lueurs de l’Aube. Qui Suis-Je, c’est la Révolution face aux Biographies typiques et pré-établies qui dévisagent, c’est la Revendication des Standards imposés faisant de nous Imposteur.e.s, c’est la Réponse à cette Question qui y répond sans y acquiescer pour autant. Qui Suis-Je, c’est la Réunion de famille des Âmes que j’aime où la Table Ronde est l’Ellipse de l’Amour qui ne va qu’afin de mieux revenir, où la nappe s’étire en arborant les Cabanes d’Autrefois (@gothuaperrets), où les couverts sont la Boîte en Argent aux Instants qui ne vont jamais mourir (@feng_ish), où les assiettes se transforment en Cymbales (@no.data) pour les Notes qui s’assoient sur le banc d’une même Portée en créant une Musicalité commune (@sexctnt), où Médiums devient plat partagé trinquant à la Complicité qui s’emboîte comme les pièces d’un Casse-Tête coulant à flots (@atelier.103). Qui Suis-Je, c’est un peu de moi, une pincée d’Iels, trois gouttes de Nous mais, surtout, beaucoup de Vous.
Qui Suis-Je, c’est Tout et Rien à la fois. C’est la Correspondance de l’Absurde et de l’Immobile qui s’entremêlent pour se répondre, c’est l’Imaginaire et le Réel qui se croisent brièvement afin de se serrer la Main, c’est la Tirade du Quelque Chose et du N’importe Quoi qui s’étendent côte à côte jusqu’aux Petites Lueurs de l’Aube. Qui Suis-Je, c’est la Révolution face aux Biographies typiques et pré-établies qui dévisagent, c’est la Revendication des Standards imposés faisant de nous Imposteur.e.s, c’est la Réponse à cette Question qui y répond sans y acquiescer pour autant. Qui Suis-Je, c’est la Réunion de famille des Âmes que j’aime où la Table Ronde est l’Ellipse de l’Amour qui ne va qu’afin de mieux revenir, où la nappe s’étire en arborant les Cabanes d’Autrefois (@gothuaperrets), où les couverts sont la Boîte en Argent aux Instants qui ne vont jamais mourir (@feng_ish), où les assiettes se transforment en Cymbales (@no.data) pour les Notes qui s’assoient sur le banc d’une même Portée en créant une Musicalité commune (@sexctnt), où Médiums devient plat partagé trinquant à la Complicité qui s’emboîte comme les pièces d’un Casse-Tête coulant à flots (@atelier.103). Qui Suis-Je, c’est un peu de moi, une pincée d’Iels, trois gouttes de Nous mais, surtout, beaucoup de Vous.
Qui suis-je?
On me demande souvent d’écrire à propos de moi-même, de qui je suis. J’ai toujours éprouvé de la difficulté à le faire. Par où commencer, où finir? Quoi dire, comment et surtout pourquoi? Qui me lira, dans quelle Optique, me relirai-je aussi? Sans doute que le Réflexe de plutôt écrire sur les Autres a pour but inconscient de repousser ce lourd Jugement qu’est le nôtre, celui lorsque nous sommes à la fois Juge, Avocat et Accusé, puisque tacher le papier, aussi futile qui soit, donne Vie à tout ce que nous ne voulons s’avouer, tout ce que nous ne pouvons s’avouer. Dans ce Geste réside la véritable Fontaine de Jouvence ; les Paroles qui s'envolent et se déposent d’Éternel.
Qui suis-je?
N’est-ce pas la Question qui nous hante sans cesse de l’Aube au Crépuscule? N’est-ce pas le brûlant Désir de la résoudre la véritable Raison nous poussant à saluer les rayons du Soleil chaque matin?
On me demande souvent d’écrire à propos de moi-même, de qui je suis. J’ai toujours éprouvé de la difficulté à le faire. Par où commencer, où finir? Quoi dire, comment et surtout pourquoi? Qui me lira, dans quelle Optique, me relirai-je aussi? Sans doute que le Réflexe de plutôt écrire sur les Autres a pour but inconscient de repousser ce lourd Jugement qu’est le nôtre, celui lorsque nous sommes à la fois Juge, Avocat et Accusé, puisque tacher le papier, aussi futile qui soit, donne Vie à tout ce que nous ne voulons s’avouer, tout ce que nous ne pouvons s’avouer. Dans ce Geste réside la véritable Fontaine de Jouvence ; les Paroles qui s'envolent et se déposent d’Éternel.
Qui suis-je?
N’est-ce pas la Question qui nous hante sans cesse de l’Aube au Crépuscule? N’est-ce pas le brûlant Désir de la résoudre la véritable Raison nous poussant à saluer les rayons du Soleil chaque matin?
untitled self portrait
Qui suis-je?
Demeurai-je même de l’Instant où je tape au clavier tout ce que je dois au Cosmos avec cette suite de Mots trop simples au moment où vos yeux se poseront dessus?
Qui suis-je?
La personne qu’on voudrait que je sois ou la personne que j’aimerais devenir?
Les Attentes hypocritement illuminées par la chandelle sur la table de chevet d’Amants et de Muses maintenant égaré.e.s, les Promesses brisées d’ancien.ne.s Ami.e.s de Vies si parallèlement lointaines, celles que je n’ai pas su tenir, toutes les Âmes que j’ai autrefois brièvement croisées et déçues, car je ne pouvais reconnaître et satisfaire leurs besoins, les Ballons-Poires et les Balançoires auxquels j’ai donné trop d’Élans et qui ne sont jamais revenus, l’Amalgame des Regrets ayant ironiquement vu Lumière à l’enceinte des quatre Murs d’une salle de classe sans Fenêtres?
Les Images qui se superposent telles les Acétates du professeur de dessin qui n’a foi qu’en cette vieille machine lorsque l’Insomnie dérobait mes grains de sable et de riz, les Scénarios que je me suis fait.e en Secret en regardant le Plafond en espérant pouvoir le traverser, les Alexandrins Anonymes qui me font oublier n’avoir que deux pieds, chaque Rêve que j’ai osé peindre dans mon Imaginaire, les Esquisses maladroites au Fusain nostalgique qui ont épousé la Lune dans la Promesse bleutée de ne jamais voir le Jour?
Demeurai-je même de l’Instant où je tape au clavier tout ce que je dois au Cosmos avec cette suite de Mots trop simples au moment où vos yeux se poseront dessus?
Qui suis-je?
La personne qu’on voudrait que je sois ou la personne que j’aimerais devenir?
Les Attentes hypocritement illuminées par la chandelle sur la table de chevet d’Amants et de Muses maintenant égaré.e.s, les Promesses brisées d’ancien.ne.s Ami.e.s de Vies si parallèlement lointaines, celles que je n’ai pas su tenir, toutes les Âmes que j’ai autrefois brièvement croisées et déçues, car je ne pouvais reconnaître et satisfaire leurs besoins, les Ballons-Poires et les Balançoires auxquels j’ai donné trop d’Élans et qui ne sont jamais revenus, l’Amalgame des Regrets ayant ironiquement vu Lumière à l’enceinte des quatre Murs d’une salle de classe sans Fenêtres?
Les Images qui se superposent telles les Acétates du professeur de dessin qui n’a foi qu’en cette vieille machine lorsque l’Insomnie dérobait mes grains de sable et de riz, les Scénarios que je me suis fait.e en Secret en regardant le Plafond en espérant pouvoir le traverser, les Alexandrins Anonymes qui me font oublier n’avoir que deux pieds, chaque Rêve que j’ai osé peindre dans mon Imaginaire, les Esquisses maladroites au Fusain nostalgique qui ont épousé la Lune dans la Promesse bleutée de ne jamais voir le Jour?
Suis-je l’accumulation de chaque personne que j’ai été ou de chaque personne que j’ai
croisé.e?
Les vêtements dépliés et le matelas sur un Plancher de bois franc pourtant malhonnête dans un appartement entièrement vide, dépouillé de meubles et de Sentiments avec seulement un triste chevalet, les interminables douches d’eau glacée qui estompaient ma Froideur en me donnant l’Impression de moins l’être, les Gouttes ruisselant le long des carreaux que je jalousais dans l’Espoir vain de les avoir sur mes joues, la faible Lumière du Lampadaire au coin de la rue ne débouchant nulle part, l’Encre qui a séchée de la Lettre s de la machine à écrire, toutes les Choses que j’ai laissées derrière sans l’Ombre d’un Remords, les Pots de Fleurs que j’ai offerts sans faire attention en les laissant tomber sur le Sol de marbre - que mon cœur s’est mis à imiter - auxquels j’avais pourtant naïvement murmuré « Ne te brise pas cette fois, ne te brise pas » ?
L’Éclat ivre résidant au fond du Regard de l’Étranger qui titubait le long des Trottoirs, la Dame au panier d’osier du Marché qui discutait entre une aubergine et un melon au miel, les Enfants aux Rires encore cristallins qui imprègnent les murs, les Passants que j’ai si longtemps observés d’un banc de parc aux journaux oubliés tel un Imposteur en extrapolant leur Quotidien, les Amoureux du train qui s’enlaçaient sans même se toucher, les Éclopés m’ayant remerciée dans mon aide sans savoir que ce sont eux qui m’ont sauvé, l’Artiste Incompris qui peignait en grand le Gris de son Désarroi espérant l’effacer un peu, le Musicien du Port qui jouait du saxophone sur un tabouret risquant de ne pas supporter le poids de sa Passion, les Anges du Onzième Étage si près du Ciel, les Âmes avec qui j’ai partagé des Paysages, des Mélodies, des Soupirs, mes Draps et quelques Bises pour au final se dire quoi, au revoir et sans rancune?
Les vêtements dépliés et le matelas sur un Plancher de bois franc pourtant malhonnête dans un appartement entièrement vide, dépouillé de meubles et de Sentiments avec seulement un triste chevalet, les interminables douches d’eau glacée qui estompaient ma Froideur en me donnant l’Impression de moins l’être, les Gouttes ruisselant le long des carreaux que je jalousais dans l’Espoir vain de les avoir sur mes joues, la faible Lumière du Lampadaire au coin de la rue ne débouchant nulle part, l’Encre qui a séchée de la Lettre s de la machine à écrire, toutes les Choses que j’ai laissées derrière sans l’Ombre d’un Remords, les Pots de Fleurs que j’ai offerts sans faire attention en les laissant tomber sur le Sol de marbre - que mon cœur s’est mis à imiter - auxquels j’avais pourtant naïvement murmuré « Ne te brise pas cette fois, ne te brise pas » ?
L’Éclat ivre résidant au fond du Regard de l’Étranger qui titubait le long des Trottoirs, la Dame au panier d’osier du Marché qui discutait entre une aubergine et un melon au miel, les Enfants aux Rires encore cristallins qui imprègnent les murs, les Passants que j’ai si longtemps observés d’un banc de parc aux journaux oubliés tel un Imposteur en extrapolant leur Quotidien, les Amoureux du train qui s’enlaçaient sans même se toucher, les Éclopés m’ayant remerciée dans mon aide sans savoir que ce sont eux qui m’ont sauvé, l’Artiste Incompris qui peignait en grand le Gris de son Désarroi espérant l’effacer un peu, le Musicien du Port qui jouait du saxophone sur un tabouret risquant de ne pas supporter le poids de sa Passion, les Anges du Onzième Étage si près du Ciel, les Âmes avec qui j’ai partagé des Paysages, des Mélodies, des Soupirs, mes Draps et quelques Bises pour au final se dire quoi, au revoir et sans rancune?
Qui suis-je?
Peut-être suis-je l’Amalgame de toutes ces Choses, de tous ces Gens, de toutes ces Existences, peut-être que je ne le suis pas.
Qu’est-ce qui définit un Être?
Comment définir qui nous-sommes ou ce que nous ne sommes pas?
Qui suis-je?
Et puis, j’ai tant essayé de comprendre qui j’étais, pour moi, pour le Monde et même pour l’Univers, du Jour où Celle Qui Danse Aux Alentours Autres Que Ceux Du Regard a tracé mon Odyssée Outre-Mer à vol d’oiseau en métal afin d’être aimé par une famille d’une autre Nuance, par Ceux qui m’ont caressé de Berceuses pour que je ferme mes Yeux différents des leurs et puisse cueillir mes Songes jusqu’à ce Aujourd’hui, jusqu’à ce moment précis.
Je crois que la Quête dans l’Aventure de trouver son Essence propre - ce Parfum distinct qui ne se sent pas avec le nez, mais qui se ressent avec l’Âme - mène à s’égarer d’innombrables fois. Cependant, nous sommes-nous réellement perdu.e.s ou faut-il simplement sortir des Sentiers Battus afin de trouver celui menant à notre véritable Destination, celle où nous devons aboutir sans toutefois s'en rendre compte? Sans ces Obstacles que sont les Impasses, Failles et Ravins, aurions-nous eu l’Audace d’utiliser notre Misère afin d’inventer des Toboggans nous faisant glisser loin de l’Ennui, construire des Ponts avec nos béquilles soutenant nos Corps blessés qui emboîtent le pas à la Douleur pour la traverser, tracer des Escaliers en colimaçon remodelant les Lignes pré-dessinées et prédéfinies d’une fausse Beauté en revendiquant la Folie des Courbes?
Peut-être suis-je l’Amalgame de toutes ces Choses, de tous ces Gens, de toutes ces Existences, peut-être que je ne le suis pas.
Qu’est-ce qui définit un Être?
Comment définir qui nous-sommes ou ce que nous ne sommes pas?
Qui suis-je?
Et puis, j’ai tant essayé de comprendre qui j’étais, pour moi, pour le Monde et même pour l’Univers, du Jour où Celle Qui Danse Aux Alentours Autres Que Ceux Du Regard a tracé mon Odyssée Outre-Mer à vol d’oiseau en métal afin d’être aimé par une famille d’une autre Nuance, par Ceux qui m’ont caressé de Berceuses pour que je ferme mes Yeux différents des leurs et puisse cueillir mes Songes jusqu’à ce Aujourd’hui, jusqu’à ce moment précis.
Je crois que la Quête dans l’Aventure de trouver son Essence propre - ce Parfum distinct qui ne se sent pas avec le nez, mais qui se ressent avec l’Âme - mène à s’égarer d’innombrables fois. Cependant, nous sommes-nous réellement perdu.e.s ou faut-il simplement sortir des Sentiers Battus afin de trouver celui menant à notre véritable Destination, celle où nous devons aboutir sans toutefois s'en rendre compte? Sans ces Obstacles que sont les Impasses, Failles et Ravins, aurions-nous eu l’Audace d’utiliser notre Misère afin d’inventer des Toboggans nous faisant glisser loin de l’Ennui, construire des Ponts avec nos béquilles soutenant nos Corps blessés qui emboîtent le pas à la Douleur pour la traverser, tracer des Escaliers en colimaçon remodelant les Lignes pré-dessinées et prédéfinies d’une fausse Beauté en revendiquant la Folie des Courbes?
Mais dans cette profonde Incertitude, la seule Chose dont je suis certain est que je ne suis qu’une Âme déambulant sur le Bitume mélancolique qui n’a pas grand chose à part ce Baluchon comportant toutes ses Questions, les Lettres qui les composent et leur Encre, ces Questions sans réponses ou celles que mon Arrogance souffle résolues qui toutefois ont encore à se dénuder pour se rhabiller sous une autre Forme, un peu comme moi d’ailleurs.
Et lorsque je rendrai mon Dernier Souffle, que je me viderai du Mistral qui m’a autrefois promis l’Horizon dans la Fuite des Rivages qui blessent, mon seul Souhait est de ne pas m’être établi sur la Pensée de détenir la Vérité Absolue de ces points d’interrogation.
Parce que bâtir sa Cabane cachée à la Cime platonique du Concret des Arbres ne permet que de vivre tandis que la construire dans l’Abstraite Illusion de leurs branches avec l’Insolence verticale de l’Altitude permet d’exister.
Et puis, je ne veux plus me réfugier dans les bras de la Vie ; je veux faire l’amour à L’Existence.
Celle avec un grand E.
Encore et toujours.
Aux Âmes de ce Monde qui ont brisé les Pots de Fleurs, mais surtout à celles qui ont sû les reconstruire,
Merci pour Tout, merci pour Rien,
Merci tout simplement,
Ē정
A PROPOS DE l’AUTEUR
Ē정 ne peut se décrire en Mots, puisqu’on ne peut expliquer les Sentiments ; seulement les ressentir. C’est donc de cette Pensée que Ē정 extrapole l’Abstrait avec ses oeuvres qu’il dénomme ses Épaves Suspendues.
Ē정 ne peut se décrire en Mots, puisqu’on ne peut expliquer les Sentiments ; seulement les ressentir. C’est donc de cette Pensée que Ē정 extrapole l’Abstrait avec ses oeuvres qu’il dénomme ses Épaves Suspendues.
A PROPOS DES CONTRIBUTEUR.ICES
VIDÉOGRAPHE
Feng 峰 est un artiste visuel et photographe qui mélange différents genres de photographie pour exécuter un travail qui confronte la notion d’identité et questionne l’idée d’appartenance. Son bagage multiculturel lui permet d’aborder ces sujets avec une perspective qui lui est unique. Il aime expérimenter avec divers médiums tels que la vidéographie, le son et la musique.
DIRECTEUR AUDIO
Nôamane Sabiri consacre son temps à explorer divers médiums artistiques qui oscillent entre les Arts visuels et la musique et crée dans l’unique but de satisfaire ses sens. Il est né à Casablanca, qu’il décrit comme une étourdissante mégapole
COMPOSITEUR.ICE ET PIANISTE
Thiên-Thi Nguyên est intéressé.e par le film et par la découverte des histoires de sa famille par le biais de la narration et de la cuisine. Il/Iel/Elle a étudié le piano classique et la guitare jazz. Dans ses temps libres, il/iel/elle construit des listes de lecture, fait du vélo et écrit le plus possible avec l’intention de combiner tous ses intérêts dans une forme artistique qui la passionne.
ASSISTANT
Aidan Hodgson se dédie à l’art du tatouage et prend le temps de redécouvrir l’optique à travers laquelle il crée.
ASSISTANT
Jordan Connor explore la photographie, la menuiserie, la peinture et l’écriture.